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La plus ancienne trace d'Anvers remonte aux 2 e ou 3 e siècles : à cette époque les Gallo-Romains s’installèrent près du Steen. Ensuite, la mémoire archéologique s’efface… jusqu’au 9 e siècle, époque à laquelle l'Escaut constituait la limite physique d’un margraviat (sorte de comté) et qu’un mur de fortification en terre fut dressé pour protéger cette frontière contre les attaques des Normands. C’est derrière ce mur que la ville se développa, sur une seule rive. L’autre rive resta terre étrangère pendant des siècles. Et cette situation se retrouve encore dans le langage d’aujourd'hui, p. ex. quand les Anversois utilisent l'expression "les peuples de l'autre côté de l'eau" pour désigner les peuples étrangers et hostiles.
Pour mieux se défendre, les Anversois creusèrent ensuite le , de larges douves qu’ils entourèrent d’un mur de fortification en pierre. Aujourd’hui, il n’en reste que la Steenpoort et quelques pans de mur dans la Vleeshuisstraat et dans la . La population locale structurait ses terres en creusant des canaux ouverts, des portes et des ponts. …. Ces canaux vieux de 900 ans vous permettront de découvrir le Wijngaardebrug, le seul pont médiéval qui a pu être conservé.
Le plan des rues d’Anvers est un témoin silencieux de son passé. La forme triangulaire de sa Grand-Place et le plan radioconcentrique typique du bas Moyen-Âge ont aujourd’hui largement disparu. Les noms des rues qui se terminent par “vest” font référence au 13 e siècle quand les Anversois affichèrent leur indépendance du duché de Brabant en construisant des douves. Les statues à l’entrée principale de la cathédrale en témoignent et sont un hommage aux citoyens qui contribuèrent à la diffusion du christianisme. Envie d’en savoir plus ? Surfez avec votre appareil mobile sur où vous trouverez le patrimoine de surface et souterrain du passé lointain ou proche d’Anvers.
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